jeudi 28 novembre 2024

Échos et écueils

J'aimerais trouver de nouveaux mots pour t'exprimer toute mon affection, toute ma passion. Car tu aimes les mots de velours, ma poésie qui te dévoile tout mon amour. Tu aimes que je t'aime, et j'aime t'aimer, que tu m'aimes et qu'on s'aime. Des nouveaux mots, de nouveaux échos, pour que tu comprennes à quel point je t'aime, à quel point tu es importante pour moi. T'envelopper de métaphores romantiques et d'écrits poétiques. Pour que tu saches que tu es magnifique, et que ton sourire, à mes yeux, est unique.

J'imagine mon avenir. Notre avenir. Ensemble, heureux et plissés, façonnés par le temps. À marcher, main dans la main. Beaux et complices. À nous remémorer nos trombones et nos aventures qui résonnent. Côte à côte, assemblant nos souvenirs comme les pièces d'un Wasgij. Tous ces doux vertiges de nos premières fois, nos premières joies. Et parfois, aussi, un peu de désarroi. Ces épreuves qui nous auront fait grandir, pour devenir un rêve que rien ne pourra ternir. Un amour dans les éclats de rire, forgé de nos secrets partagés. J'imagine tout cet avenir, réfugié dans notre amour forteresse. Collé contre toi, mon amour tendresse.

Oui, j'aimerais trouver des mots à la hauteur de tes espérances. Des milliers de mots, de passion et de tendresse, de complicité et de promesses. Des mots intemporels, à l'image d'un amour éternel. À la hauteur de ce que je nous souhaite quand je nous imagine, dans ce futur où nos vies se dessinent. Je veux t'offrir des mots qui te laisseront le sourire aux lèvres. Et peut-être aussi, une larme à l'œil. Un souvenir de notre amour sans trêve, et ce, malgré nos pensées en écueil. Dénicher tous ces mots essentiels qui pourtant se résument si simplement : je t'aime.


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lundi 13 mai 2024

Mais et aussi

Je ressens tout ton amour. Mais aussi tes incertitudes, tes inquiétudes. Et pourtant. Je t'aime vraiment. Énormément. Et je te le dis, je crois, souvent, que je t'aime vraiment, sincèrement. Que je suis bien avec toi, que j'aime être avec toi. Souvent, vraiment souvent, sincèrement. Mais ça me fait mal, mal de te décevoir. Mal de ne pas être à la hauteur de tes espérances. Je suis pourtant attentionné, il me semble. Pas suffisamment, peut-être bien. Je ne suis pas parfait, même si j'aimerais bien que tu le crois. Pour moi. Et pour toi, aussi un peu. Bref, je t'aime, tu sais.

Mais j'ai mes peurs, aussi. Malgré moi. Malgré toi. Malgré nous. Mes peurs, car j'y ai cru avant. Pas tout le temps, mais trop souvent, car même une fois en vain, c'est déjà trop. Et ça m'a brisé vraiment. Malheureusement. Et j'ai peur d'être brisé, une fois de plus. Une dernière fois, une ultime fois. Plus on avance, plus je t'aime, mais plus j'ai peur, et j'ose moins me laisser emporter, possiblement, et j'essaie de garder un pied sur terre, sûrement. Et tu pourrais penser que je t'aime moins que d'autres auparavant. Ce n'est pas le cas. Je t'aime vraiment, sincèrement. Je le sais, je pense à toi, tout le temps.

Mais j'ai mes angoisses, aussi. Au-delà de celles de l'amour. L'anxiété me gruge, le stress me pèse, toutes mes préoccupations me rendent parfois dysfonctionnel. Pour des choix du passé, pour des responsabilités du présent, et toutes les conséquences sur mon avenir. Des fois, j'imagine l'inimaginable, épuisé de vivre les dents serrées. De vivre en me disant que demain, je me sentirai mieux, allégé du poids de mes angoisses. Mais ce demain n'arrive pas. Et je rage face à toute mon impuissance, et je pleure tout mon désespoir. J'essaie de me convaincre que ce n'est pas si grave. Je n'y arrive pas. Et je vis de mes tourments. Et tout ça nous affecte, très certainement. J'en suis désolé, j'aimerais que tu puisses comprendre, assurément. Car, je t'aime, tu sais.


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mercredi 14 février 2024

Amour et lait d'avoine

Tu me désires. Tu me trouves beau. Je le sais. Je le sens. Tu me le montres. Et parfois, je le crois, que je le suis vraiment. Beau à ce point. Mais l'important, c'est toi, et ce que tes yeux perçoivent en me regardant. Comme les miens, qui te trouvent belle, et qui te désirent à leur tour. Sans arrêt, sans cesse. On est chanceux, pour la réciprocité de nos désirs. Pour la synchronicité de nos envies. C'est unique, c'est fantastique, c'est même magique. C'est pas rien ça. C'est tout au contraire de rien. Oui, magique, tout simplement.

Et quand on se voit, et que je te prends dans mes bras, que j'enfouis mon nez dans ton cou, et sens ton odeur, tu m'enivres de plénitude. D'un parfum de béatitude dans cette vie parfois un peu trop lugubre. Tu sens bon, tu sens la douceur et la volupté. Ça me donne le goût de te croquer. Te goûter et t'embrasser. Pour que nos bouches se réunissent, pour qu'elles dansent ensemble, et se disent je t'aime. Comme toi et moi sur le plancher de la cuisine, avec pour fond, la musique des 4 Non Blondes.

C'est beau tout ça. Ça me rend heureux quand j'y pense. Et j'y pense. Beaucoup. Sans arrêt, sans cesse quand on est loin l'un de l'autre. Comme en ce moment. Je t'imagine, qui me souris. Je t'imagine, belle, colorée contre moi. Je nous imagine, ensemble, heureux de tendresse. Longtemps. Encore. À croire à l'avenir. À croire en nous deux. Parce qu'on se mérite, et surtout, parce qu'on s'aime, malgré tout, malgré la vie et nos cœurs maganés. Ensemble, à vivre d'amour et d'avoine. Je t'aime, c'est tout.


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